Une spiritualité qui vous recentre, vous rend plus calme et profondément vivant !
Je n’ai jamais vraiment eu besoin de me définir à travers des rôles. Certains me connaissent comme médium, d’autres comme thérapeute ou accompagnante spirituelle. Mais au fond, je suis surtout une femme en chemin, tout comme vous. Une femme qui apprend, qui doute parfois, mais qui avance en restant fidèle à ce qu’elle ressent profondément.
Aujourd’hui, je peux vous le dire sans détour : je suis stoïque et c’est là ma plus belle façon de vivre la spiritualité.
Le mot peut surprendre car il évoque une vieille philosophie un peu rigide et détachée des émotions. On pense à des figures austères, à des idées figées. Mais en ce qui me concerne, le stoïcisme est tout sauf froid.
C’est une sagesse du cœur, simple, directe et profondément humaine. Il ne s’agit pas de tout maîtriser, ni de tout accepter en silence. Il s’agit de rester en lien avec soi, sans se laisser emporter par ce qui nous échappe.
Avec le temps, j’ai pris conscience que la véritable essence de cette présence en moi ne nécessite aucun détour, car elle se manifeste naturellement dans la simplicité de mon cœur. Elle est là, dans le souffle, dans les gestes simples et dans ce que je choisis de nourrir chaque jour.
Le stoïcisme m’a permis d’apprendre à poser un regard calme sur la vie. À ne plus réagir à tout et à ne plus m’épuiser pour ce qui ne dépend pas de moi.
Ce stoïcisme que je vis comme une force emplie de douceur
Cela ne veut pas dire que je ne ressens rien. Bien au contraire. Je ressens profondément. Mais je ne laisse plus ces vagues intérieures me submerger. Quand une émotion monte, je l’accueille, je l’écoute, puis je la laisse passer. Et c’est cette posture qui me permet d’accompagner les autres, en étant pleinement présente, sans me perdre.
Quand je suis en consultation et que je perçois une vibration, une image, un message, je ne m’y accroche pas. Je reste à l’écoute, dans une forme de silence intérieur. Le stoïcisme m’a appris à me mettre en retrait pour que l’essentiel puisse émerger, sans agitation ni interprétation excessive. Cette présence est une lumière calme et sereine, qui irradie le respect et la douceur dans chaque instant.
Ma spiritualité n’est pas faite de dogmes et ne cherche pas à impressionner. Elle m’aide simplement à vivre plus en paix, à rester vraie et à être utile aux autres sans me trahir. Et c’est cette simplicité-là que j’ai envie de transmettre.
Le stoïcisme : fondements et principes
Même s’il est né dans la Grèce antique, le stoïcisme continue de résonner avec une force étonnante. Pour moi, il ne s’agit pas d’un concept figé ou d’un concept rigide. Je le vis plutôt comme une manière simple d’aborder la vie avec clarté.
Un art de vivre centré sur l’essentiel
Cette façon de voir la vie m’a appris à faire la part des choses. À reconnaître ce qui dépend de moi… et ce qui ne m’appartient pas. Ce regard change tout. Il m’évite de m’éparpiller, de porter le poids du monde ou de chercher à contrôler ce qui ne peut l’être.
Le stoïcisme repose sur quatre valeurs qui me servent de repères au quotidien : la sagesse, le courage, la justice et la tempérance. Elles ne sont pas théoriques. Elles m’aident à rester alignée, à poser des actes justes et à garder la tête froide quand tout s’agite autour.
Une posture intérieure qui transforme…
Ce que je recherche à travers cette philosophie, ce n’est pas de devenir impassible. C’est de répondre aux défis avec plus de discernement. Mon calme ne vient pas d’un monde déconnecté, mais plutôt de la façon dont je choisis de voir et de vivre les choses.
Quand je suis confronté à une difficulté dans ma vie, je garde en mémoire que je ne peux pas tout changer. En revanche, je peux opter pour la façon dont je vais répondre. Et ce choix-là est une force. C’est lui qui me permet de rester présente, sans me laisser emporter.
Pourquoi je me dis stoïque ?
Être stoïque, ce n’est pas être distante c’est rester profondément humaine !
Pendant longtemps, je ne me rendais pas compte que ma manière d’aborder la vie portait un nom. J’avançais, simplement, en essayant de rester droite dans ce que je vivais. Et puis un jour, j’ai reconnu dans le stoïcisme cette façon naturelle de faire face, sans m’effondrer et sans m’éteindre.
Être stoïque, ce n’est pas nier ses émotions. C’est apprendre à les accueillir sans se laisser submerger. C’est ressentir avec intensité, mais sans se laisser déborder. Et ça change tout dans la façon d’être en harmonie avec le monde.
Une foi simple, enracinée dans le réel
Au fil des années, j’ai exploré beaucoup de chemins spirituels. Certains m’ont éclairée, d’autres m’ont questionnée. Mais ce qui m’a toujours portée, c’est une foi tranquille. Une confiance discrète en ce que je ressens au fond de moi, quand je me tais, quand j’écoute, quand je respire.
Je ne prie pas pour que les choses s’arrangent comme je le voudrais. Je prends simplement un temps pour accueillir ce qui est là. Avec douceur, mais sans illusion. Ce n’est pas un abandon face aux épreuves. C’est une manière de rester ouverte, tout en gardant les pieds sur terre.
Aujourd’hui, ma spiritualité ne dépend ni de rituel, ni d’un cadre rigide. Elle se vit dans les gestes simples et dans la manière dont je choisis d’être là. C’est dans cette liberté que je suis vivante.
Stoïcisme et spiritualité : une évidence que je vis, pas un concept que je cherche à prouver
Je n’ai jamais eu besoin de mettre un nom sur ce que je vis intérieurement. Pour moi, la spiritualité, ce n’est pas une vitrine ni un mode d’emploi. C’est ce qui me relie à moi-même, à ce que je ressens profondément et à ce qui m’échappe aussi parfois.
Et c’est là que le stoïcisme me parle autant. Parce qu’il ne demande rien. Il ne cherche pas à convaincre. Il m’invite juste à être là, lucide, alignée avec ce qui est. Et plus je l’intègre, plus je réalise à quel point cette posture nourrit ma façon d’être spirituelle sans que j’aie besoin d’en faire trop.
Être alignée pour mieux recevoir ce qui ne s’explique pas…
Ce n’est pas une croyance, c’est une manière d’être. Une façon de me rendre disponible. Pas pour attendre des réponses toutes faites, mais pour écouter plus finement. En moi, autour de moi, dans ce que l’autre traverse aussi.
Dans mon travail, ce lien-là est essentiel. Si je ne suis pas centrée, si je me laisse embarquer dans l’émotion ou dans l’attente, je brouille tout. Ce que j’ai compris avec le temps, c’est que le silence intérieur est un vrai canal. C’est dans ce calme que les messages arrivent les plus clairement.
Et ça, je ne l’ai pas appris dans un livre. Je l’ai vécu. C’est dans ma pratique, dans mes échanges, dans les moments où je suis juste là sans vouloir, sans forcer que la justesse émerge.
Le stoïcisme m’aide à rester à ma place. Ni au-dessus, ni à côté. Présente, honnête et stable. C’est ça ma spiritualité : pas un décor, pas un discours, juste une présence qui tient sans avoir besoin d’être expliquée.
Le stoïcisme comme ressource intérieure dans les moments difficiles
Je ne vais pas vous mentir : j’ai connu des moments où tout vacillait. Comme tout le monde, j’ai traversé des pertes, des remises en question, des douleurs que je n’avais pas vues venir. Et dans ces moments-là, le stoïcisme n’a pas été une théorie. Il a été un appui. Silencieux, mais bien réel.
Il ne m’a pas empêchée de souffrir. Il ne m’a pas non plus donné de solution miracle. Mais il m’a offert une manière différente de tenir debout. De respirer au milieu du chaos. De me dire : « Tu ne peux pas tout changer, mais tu peux choisir comment tu vis ce qui t’arrive. »
Ça paraît simple. Et pourtant, c’est immense.
Je ne cherche plus à tout contrôler, ni à comprendre tout de suite ce que la vie me demande. Le stoïcisme m’a enseigné à ne pas me laisser abattre dès que quelque chose échappe à mon contrôle.
J’apprends à laisser le temps agir, à ne pas résister inutilement, mais à progresser différemment, de manière plus sereine et confiante, même lorsque tout semble incertain.
Une force tranquille quand tout tremble autour
Je me souviens d’une période où tout semblait se dérégler en même temps. Sur le plan personnel, émotionnel et professionnel. C’était flou, lourd et imprévisible. Et j’aurais pu m’agiter dans tous les sens, vouloir tout réparer, tout remettre d’aplomb tout de suite.
Mais j’ai fait le choix de me poser, d’écouter et de ne pas répondre dans la précipitation. Je me suis rappelée que je pouvais rester droite, même sans tout comprendre. Et ce calme-là, que j’avais construit en moi au fil du temps, m’a portée.
Je crois que c’est cela, la vraie force. Pas celle qui fait du bruit. Pas celle qui impressionne. Celle qui vous permet de rester vous-même, même quand tout autour vous pousse à réagir, à fuir, à céder à la peur.
Le stoïcisme m’a appris à ne pas me perdre dans ce que je ne maîtrise pas et à ne pas me fermer non plus. C’est un équilibre subtil.
Le stoïcisme dans les relations sentimentales, amicales et familiales
Avec le temps, j’ai compris que certaines relations nous élèvent, quand d’autres nous abîment. Ce constat, je l’ai vécu comme tout un chacun. Dans La médiumnité libérée, je parle ouvertement d’une décision importante que j’ai prise : couper avec ma famille. Ce n’était ni un geste brutal, ni une fuite. C’était un choix posé, en conscience, pour me préserver, pour me retrouver et pour avancer plus librement.
Grâce au stoïcisme, j’ai pu faire ce pas sans ressentiment. Cette philosophie m’a aidée à sortir du besoin de me justifier ou d’attendre une reconnaissance qui ne viendrait pas. Elle m’a appris que parfois, rester, c’est s’éteindre à petit feu. Et que partir, c’est honorer son essence.
Aimer sans s’effacer, être fidèle à soi avant tout !
Dans mes relations sentimentales aussi, le stoïcisme m’a profondément transformée. J’ai connu des histoires où j’ai trop donné, où je me suis effacée pour ne pas déranger, pour que ça “tienne”. Mais à force de chercher à tout porter, j’ai fini par me perdre. Alors j’ai changé ma façon d’aimer.
Aujourd’hui, je ne suis pas en couple et je vis cette solitude de manière très sereine. Je ne la vis pas comme un manque, mais comme un retour à soi. Je n’ai plus besoin d’être dans une relation pour me sentir complète. Si un jour un lien se présente, il viendra s’ajouter à ma vie et non combler un vide.
Cette posture me guide aussi dans mes relations amicales. Je suis présente, vraie, engagée… Mais je n’absorbe plus ce qui ne m’appartient pas. Le stoïcisme m’a permis d’écouter sans me laisser emporter, d’aider sans m’épuiser et de poser mes limites sans culpabiliser.
Aujourd’hui, je ne cherche plus à être aimée à tout prix. J’accueille les liens sincères, équilibrés et je m’éloigne de ce qui sonne faux. Ce que je protège avant tout, c’est ma paix intérieure. Et cette paix, je l’ai construite pas à pas, en apprenant à rester fidèle à moi-même même quand cela déplaît.
Le stoïcisme face à la souffrance
Accueillir, traverser, comprendre autrement
La souffrance fait partie du chemin. Elle ne se présente jamais par hasard, ni sans laisser de traces. Ce n’est pas une ennemie à abattre, mais une réalité à rencontrer. Et parfois, à apprivoiser.
Ce que le stoïcisme m’a offert, ce n’est pas une promesse d’invulnérabilité. C’est un espace intérieur plus stable, dans lequel la douleur peut exister… sans m’engloutir.
Il ne s’agit pas d’étouffer ce que je ressens, ni de faire semblant que tout va bien. Il s’agit plutôt d’accueillir ce qui est là, sans résistance et sans surinterprétation.
La tempête peut passer. Ce qui fait la différence, c’est la façon dont je choisis de l’écouter.
La douleur comme messagère de ce qui demande à être vécu
Avec le temps, j’ai cessé de me demander “pourquoi”. Ce qui m’aide aujourd’hui, c’est d’écouter ce que la souffrance révèle, ce qu’elle vient pointer sans détour : un attachement, un besoin ignoré, une blessure ancienne. Elle n’apporte pas toujours des réponses claires, mais elle ouvre des portes que j’aurais gardées closes autrement.
Dans ces moments-là, ce n’est pas le stoïcisme qui me durcit. C’est lui qui me permet de rester en lien avec ce que je vis, sans me dissoudre dedans. Il y a une façon de traverser, sans se perdre. Une façon d’être touchée, sans être dévastée.
Ce calme intérieur, je ne l’ai pas fabriqué. Il s’est construit, au fil des épreuves. Il n’efface rien, mais il rend la traversée possible. Et surtout, il laisse la place à la transformation. Parce qu’une fois la vague passée, il reste une clarté nouvelle. Une force plus douce, mais plus vraie.
Mon quotidien de femme stoïque et spirituelle
Je n’ai pas une vie tranquille et ce n’est pas ce que je recherche. Comme vous, mes journées sont denses. Je suis engagée dans mes entreprises, à l’INAD, au SPPAD… Et chaque jour, il y a des responsabilités, des décisions et des imprévus à gérer. Le rythme est soutenu, parfois épuisant, mais je ne le subis plus comme avant. Ce qui a changé, c’est la façon dont je me place dans ce mouvement.
Le stoïcisme n’est pas une parenthèse entre deux obligations. C’est une posture que j’emporte avec moi dans chaque moment de la journée. Il m’aide à rester lucide, à ne pas réagir sous le coup de l’émotion et à faire ce que j’ai à faire sans me disperser. Il ne me demande pas de ralentir, il m’aide à surmonter les défis sans engendrer de tensions.
Rester alignée, même dans le feu de l’action
Je ne médite pas. Je ne cherche pas à me déconnecter du réel. Au contraire. Ma spiritualité se vit dans l’action, dans les décisions à prendre, dans la façon dont je traite les situations humaines parfois complexes qui m’arrivent chaque jour. J’essaie d’être présente dans ce que je fais, de rester droite, même quand la tension monte.
Ce n’est pas toujours simple. Mais j’ai appris à reconnaître les moments où je me laisse happer, où je commence à m’éloigner de moi. Dans ces cas-là, je respire un peu plus lentement. Je fais une pause, même courte, pour me recentrer. Pas pour faire joli. Pour rester fidèle à ce que je sens juste, dans le flot de tout ce qui se joue autour de moi.
Une spiritualité qui soutient qui ne s’impose pas
Je ne sacralise pas chaque geste et je ne récite pas de mantras. Ma spiritualité se voit dans mes choix, dans ma manière de dire non quand il le faut et dans la façon dont je garde mon calme quand tout pousse à réagir. Elle est dans ma rigueur, dans ma constance et dans cette force tranquille que j’essaie d’incarner, même dans les tempêtes.
Je ne prétends pas avoir trouvé l’équilibre parfait. Il y a des jours où je suis fatiguée, où je doute, où tout s’accélère. Mais même dans ces moments-là, je sais que je peux m’appuyer sur cette force intérieure que j’ai construit avec le temps.
Et c’est ça, pour moi, vivre le stoïcisme au quotidien : être debout dans l’action, sans me perdre dans l’agitation.
Être alignée grâce au stoïcisme : une spiritualité incarnée dans l’action
Je ne cherche plus à en faire trop. Ni à convaincre, ni à expliquer ce que je ressens à ceux qui ne veulent pas entendre. Aujourd’hui, je choisis simplement d’être en accord avec moi-même et d’avancer avec ce qui résonne profondément.
Le stoïcisme n’est pas une théorie que j’applique, c’est une manière d’être. Il m’aide à rester droite dans le mouvement, présente dans mes choix, ancrée dans le réel. Il n’efface pas les doutes ni les douleurs, mais il me permet de les traverser sans me perdre.
Ma spiritualité ne se montre pas. Elle s’exprime dans les gestes quotidiens et dans ma façon de poser des mots. Mais aussi de faire face aux tensions sans me renier et de garder le cap sans me fermer. Bien qu’elle ne possède rien de particulier, elle supporte tout avec brio.
Et si mes mots résonnent en vous, peut-être que vous aussi, vous sentez que ce n’est pas dans le bruit qu’on se trouve. C’est dans ce lien discret qu’on tisse avec soi-même, chaque jour, sans attendre l’approbation. C’est dans le fait de rester fidèle à ce qu’on ressent profondément, même quand ça déplaît.
Ce choix-là, je le fais chaque jour. Et c’est peut-être la forme la plus authentique de ma spiritualité.
FAQ – Stoïcisme, spiritualité et chemin personnel avec Sophie Vitali
C’est quoi, une spiritualité stoïque au quotidien ?
Une spiritualité stoïque, c’est une manière de vivre connectée à soi, sans chercher à fuir le réel. Ce n’est pas une religion, ni un rituel figé. C’est une posture intérieure qui permet de rester en paix, même quand les choses ne vont pas comme prévu. Elle se vit dans le calme, la lucidité, la présence à ce qui est.
Est-ce qu’on peut être spirituel sans méditer ou faire des rituels ?
Oui, complètement. La spiritualité ne passe pas forcément par la méditation ou des pratiques visibles. Elle peut être là dans la façon dont on agit, dont on écoute, dont on reste fidèle à soi dans les moments clés. Personnellement, je ne médite pas. Ma spiritualité se vit dans mon engagement quotidien, dans ma manière d’être et de faire.
Le stoïcisme aide-t-il à gérer les émotions sensibles ?
Oui, le stoïcisme permet de poser un regard plus apaisé sur ce qu’on traverse. Il ne demande pas de nier les émotions, mais d’apprendre à les accueillir sans se laisser envahir. On peut ressentir intensément… sans être emporté. C’est une philosophie de stabilité intérieure.
Peut-on vivre le stoïcisme dans une vie professionnelle intense ?
Oui, et c’est même là qu’il prend tout son sens. Dans mon quotidien très chargé, entre mes entreprises, l’INAD et le SPPAD, le stoïcisme m’aide à rester claire, à ne pas me disperser, à agir sans me surcharger émotionnellement. Il soutient l’action, sans jamais m’éloigner de moi-même.
Comment savoir si le stoïcisme est fait pour moi ?
Si vous cherchez à vivre plus simplement, à faire la paix avec ce que vous ne contrôlez pas, à poser des limites sans vous durcir, alors oui… peut-être que cette voie vous parlera. Ce n’est pas une posture froide. C’est une manière douce d’habiter le réel avec présence et discernement.
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