Voilà un sujet qui passionne beaucoup de monde et pour cause, nous aimons la vie ! C’est pourquoi, ce mystérieux passage qui serait synonyme d’une « après vie » entraine vers toutes les espérances de l’humanité.
C’est un sujet qui occupe une grande place dans mon livre « Les portes de l’esprit » et dont nombre de « mes collaborateurs » du paranormal et des sciences étranges partagent l’expérience.
Faute de pouvoir faire parler les morts, quoique Sophie Vitali Médium ( Mystik Radio) ou encore Angélina Seranno en sont capables. Les scientifiques décortiquent les récits d’expérience de mort imminente (EMI).
Des témoignages troublants qui pourraient permettre de mieux comprendre les mécanismes de la conscience.
La mort est paradoxale. Personne n’y échappe, mais pour des raisons évidentes, c’est probablement l’expérience humaine la moins documentée. Certes, on a de bonnes idées de ce qui la précède. C’est tout simplement la vie !
Et chacun a son opinion, invérifiable sur ce qu’il advient après. Mais à quoi ressemble l’ultime instant où l’on passe de vie à trépas dans un corps en perdition ? Que se passe-t-il lorsque le cerveau absorbe ses dernières bouffées d’oxygène ? Que ressent-on ? Perçoit-on encore quelque chose ?
Quelle peut être la dernière pensée générée par des neurones moribonds ?
Pour autant, toutes les zones de ce gros consommateur d’énergie n’offrent pas la même résistance, les premiers dysfonctionnements se font sentir dans la sphère supérieure : siège de la mémoire, de l’apprentissage et du langage. Ils se propagent ensuite vers le bas jusqu’au tronc cérébral responsable des fonctions réflexes, telle la respiration.
Si rien n’est fait, c’est la mort cérébrale assurée ! Synonyme de mort tout court en quelques minutes ou quelques dizaines de minutes dans des cas rares.
Parmi ces miraculés de 6 à 20 %, selon les rares études sur le sujet, reprennent conscience avec le souvenir de ce qu’il est convenu d’appeler une expérience de mort imminente, ou EMI.
Impression de sortie du corps ou décorporation, sensation d’extase, intégration de détails ahurissants de l’environnement par des personnes censément inconscientes…
Mais ces personnes apportent des informations précieuses pour élucider la manière dont sont ressentis les derniers instants.
Ainsi, à travers le témoignage recueilli par Jean-Pierre Jourdan, un médecin généraliste qui, depuis vingt ans, consacre une journée par semaine à l’étude des témoignages d’EMI, nous avons la « généralité » de ce qui se passe :
Je roulais en voiture derrière un camion quand une pierre a été projetée à travers le pare-brise et m’a atteint au flanc. Au moment du choc, j’ai vu une lumière violente, et j’ai eu l’impression de me trouver dans de la ouate, avec un mouvement en spirale qui allait en s’accélérant.
Il n’y avait pas de son, mais je percevais une sorte de rythme, un peu comme une locomotive. Puis une lumière laiteuse, dorée, douce, chaude, tendre, rassurante, accompagnée de la disparition de toute sensation désagréable. J’avais une impression de paix indestructible. Je me suis ensuite retrouvé au plafond d’une chambre.
J’ai vu un pauvre type avec des tubes et des fils. C’est en reconnaissant un grain de beauté que je me suis dit : » Mais c’est toi ! » J’ai vu le personnel changer les perfusions, nettoyer la chambre.
Puis j’ai éprouvé le besoin de sortir de cette pièce. Je me souviens avoir visité l’hôpital, en m’amusant à voler dans les escaliers ! J’ai pu vérifier après coup que ces endroits existaient bien et j’ai reconnu les gens qui s’étaient occupés de moi quand j’étais dans le coma.
Ce type de témoignage se retrouve dans le livre de Raymond Moody » La vie après la vie » que vous pouvez découvrir sur ma page Facebook, livre publié en 1975.
Confondant avec la sensation d’un amour bien plus fort que tout ce qu’elles avaient pu ressentir au cours de leur vie. Une vie qui est d’ailleurs revisitée soit dans son entier soit dans ses moments clé, mais souvent en adoptant des points de vue nouveaux.
Pour beaucoup, cette partie de l’expérience se fait en compagnie d’un guide bienveillant ou d’un être de lumière. Sa description peut dépendre de la religion ou plus généralement du contexte culturel.
C’est l’impression d’avoir accédé à un savoir absolu, mais dont on ne conserve aucun souvenir une fois redevenu conscient.
Relevant les similitudes entre ces manifestations et certaines représentations religieuses du passage de vie à trépas, certains ont interprété les EMI comme la preuve de l’existence d’une vie après la mort.
Bien évidemment, la science est incompétente sur cette question.
Mais de toute façon, comme le souligne Steven Laureys à la tête du Groupe de sciences du coma au centre de recherche Cyclotron et chef de clinique au service neurologie du CHU de Liège, « si un patient reprend conscience après un arrêt cardiaque, c’est qu’il n’était pas mort, car personne ne revient de la mort ».
Façon de préciser que les sujets d’une EMI sont bien vivants et que leurs souvenirs renvoient à une activité cérébrale. C’est un mystère qu’il reste à élucider. Si vous voulez en savoir plus sur le côté spirituel, je vous renvois vers mes « consœurs » sérieuses et appliquées que j’ai cité en début d’article
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