Voici bientôt un an maintenant que j’ai terminé l’écriture et la publication aux éditions des 3 colonnes de mon livre « Les portes de l’esprit ». Parmi plusieurs professionnels des arts divinatoires et du paranormal y figure Sophie Vitali.
Je pensais alors avoir fait le tour de la question en termes de voyance, médium, parapsychologie et associés. Naïveté ou ignorance, voire un peu des deux, ce livre m’a pourtant rapproché d’un public comme je le pensais curieux et intéressé.
Par extension, j’ai aussi développé par le biais de Facebook et de nombreux lives avec Sophie Vitali, des échanges et des relations riches.
Je m’aperçois qu’il n’y a jamais rien de gagner sur un réseau social, tout monte ou retombe très vite et lorsque l’on veut établir une relation professionnelle, de collaboration active de confiance, le rôle positionnel emprunte deux voies. La première est d’assimiler les positions sociales à des ensembles d’acteurs identiques quant à leurs relations aux autres. La deuxième est de modéliser les rôles sociaux comme des systèmes de relations entre acteurs ou entre positions.
La frontière est fragile et l’équilibre est encore plus mince. C’est alors que j’apprends au fil du temps non seulement les différentes pratiques ésotériques de Sophie Vitali, mais aussi son envie d’écrire un ouvrage sur sa vie, son parcours et sur la médiumnité.
Nous avons donc établi lors de nos nombreuses conversations avec Sophie que la confiance légitime dans l’éducateur n’est pas une promesse de savoir. Elle procède d’un savoir déjà et toujours en formation…
L’une de mes craintes, lors de mes tout premiers échanges avec Sophie était qu’elle mêle religion et spiritisme. Pour moi qui suis un athée convaincu, il est difficile de parler de la vie après la mort et de médiumnité sans inclure l’aspect religieux.
En effet, d’un côté, on retrouve des images de perdition : « Les ténèbres du dehors », « la fournaise de feu », avec, chaque fois, la mention des « pleurs et grincements de dents » ou bien le péché contre le Saint-Esprit, « qui ne peut être pardonné ». De l’autre côté, on retrouve les adorateurs des archanges délivrant des messages ainsi que des fans et attentifs aux plumes et aux heures miroirs…
Notions incontournables, mais que Sophie, comme moi, aborde d’un tout autre aspect et à elle de répondre à la question « qu’en est-il du Dieu divin ? »
Sophie Vitali : Je crois sincèrement à l’existence de « Dieu » et à une force bienfaitrice tout comme aux forces sombres. Comme je le raconte dans mon livre. J’eus une révélation à l’âge de 14 ans. À cette période, je souhaitai entrer dans les ordres avant de comprendre sans mettre un nom sur cela que ma mission serait plus importante hors d’un couvent. Si je suis convaincu de l’existence du bien et du mal, c’est que ces forces sont essentielles à l’équilibre de l’humanité voire de l’Univers.
En effet, chaque religion bien que différentes intègrent cette notion résumée parfaitement selon moi par Yin et du Yan. Deux forces complètement opposées et parfaitement complémentaires. Pour répondre plus brièvement à ta question, les entités célestes existent. Les médiums et guérisseurs font d’ailleurs appel à leur aide lors de soins de guérison, de protection ou bien lors d’exorcismes et de dégagements de personne.
J’aborde aussi le sujet épineux du danger du mysticisme et de la spiritualité exarcerbée dans : La médiumnité libérée.
Olivier Bernard : Voilà un exercice périlleux, de haut vol auquel elle ne manque pas de répondre avec précision. Comment tout cela est venu, né, découvert et peut-être enfin maîtrisé et exploité.
Sophie ne manquera pas de nous l’expliquer dans son livre, mais pouvons-nous en avoir un avant-goût ?
Extrait du livre : La médiumnité libérée : chapitre XII : Ma vision de la spiritualité :
Parce qu’elle est propre à chacun ! Les clichés et des croyances erronés déforment l’image de la spiritualité. Entre l’envie de devenir des êtres essentiellement spirituels et un mysticisme exacerbé, l’humain revendique détenir la vérité et se promet d’atteindre les hautes sphères en mangeant des graines et en vivant tels des ermites dans des lieux reculés.
Pour tout vous dire, ma vision de la spiritualité est tout autre et libre. Libre de choisir d’être une belle personne, de jouir d’une vie sociale, d’être omnivore ou non, d’aimer profiter de la vie et surtout de partager votre amour avec les personnes qui vous entourent. Je pense qu’il est une erreur de penser qu’être spirituel, c’est se détaché du matériel au point de vivre comme au moyen-âge car si nous avons choisi d’être incarnés dans une vie terrestre, c’est pour une bonne raison ! Je suis convaincue que si vous n’accomplissez pas pleinement votre vie terrestre, vous pourriez rater votre mission.
C’est de cette façon que je m’intéresserai à ce sujet sensible, peu évoqué et pourtant d’actualité : le trop-plein de spiritualité ou comment cette nouvelle tendance peut être source de danger. Mais alors pourquoi ce nouvel engouement pour la spiritualité bat son plein ?
La réponse est simple ! Nous sommes submergés d’émissions de web TV et de radio proposant de la « food spirituality » (oui, c’est moi qui viens d’inventer ce terme et je trouve qu’il est significatif !). Le spectateur absorbe des informations importantes sur le développement des capacités médiumniques et spirituelles. Ces émissions vous promettent des déblocages instantanés et immédiats en direct ou moyennant le tarif d’une consultation. Jusqu’ici, je dirai que le spectateur souhaitant obtenir des informations essentielles est plutôt bénéfique. En revanche, pour la personne qui participe à tous les lives proposer sur YouTube et les réseaux sociaux le danger est bien présent. En effet, il est essentiel de rappeler que si vos guides vous ont transmis des informations le samedi, il est fort probable que le mardi suivant les messages se fassent rares. Pourquoi ? Tout simplement parce que ces informations ou bien ces révélations sont importantes ! Vous avez le choix celui de les écouter ou non, de travailler certains aspects de votre âme ou de poursuivre votre chemin sans appliquer ces conseils.
La médiumnité n’est pas un jeu ! Lorsque le consultant pose la même question dans différentes émissions en espérant obtenir une réponse satisfaisante et confortable, il n’y a aucun intérêt. »
Olivier Bernard : Alors que nous tous à l’âge de l’enfance nous nous soucions de nos copains, nos copines, écoles, vélo, nos cadeaux de Noël et d’anniversaire. Je ne peux m’empêcher de fantasmer l’enfance de Sophie comme très différente voire complètement atypique.
Sophie Vitali : Voilà une réponse qui va certainement te décevoir, car comme je le raconte dans mon livre, mon enfance n’a pas été joyeuse… De plus, lorsque l’on développe ses capacités dès l’enfance, elles font partie de nous. De fait, les capacités extra-sensorielles ne nous interpellent pas ou bien nous n’en avons pas véritablement conscience.
Pour ma part, je n’ai pas eu des parents avec qui le dialogue était facile et je ne me suis jamais aventurée sur le sujet. Pour être honnête, je pensais que tout le monde avait cette sensibilité, ces perceptions ou cette intuition. C’est aujourd’hui avec le recul et mon expérience que je réalise que mes capacités étaient bien présentes.
Olivier Bernard : En choisissant d’exercer de façon professionnelle la médiumnité, certains médiums passent parfois d’une situation matérielle confortable à une vie plus modeste. La raison principale serait de faire profiter les autres de ce « don d’amour » dont ils parlent tous. Quel est ton avis sur la question ?
Sophie Vitali : Je pense que beaucoup de personnes ne comprennent pas que les médiums professionnels sont rémunérés pour les prestations. Comme tu l’énonces plus haut, certains parlent de « don », ce terme me dérange, car il possède une connotation religieuse. Or, je pars du principe que tout humain est à même de pouvoir développer ses capacités extra-sensorielles s’il le souhaite. Par conséquent, cela signifie que même les personnes athées ou n’ayant pas la « foi » peuvent percevoir ou avoir une sensibilité aiguisée.
Concernant le fait de ne pas percevoir de rémunération, connais-tu des personnes qui travaillent toute la journée et parfois même la nuit sans percevoir de compensation financière ? Cela est inconcevable, car comme tout un chacun, les médiums ou les voyants payent leur loyer, doivent se nourrir, subvenir au besoin de leur enfant. La société et les personnes qui la constituent ne peuvent vivre de troc…
Ensuite, l’un des problèmes majeurs que je souligne dans La médiumnité libérée est l’engouement pour les activités telles que : magnétiseurs, guérisseurs, thérapeutes ou pour les arts divinatoires. Indubitablement, comme dans tout milieu professionnel, la concurrence est rude et malheureusement beaucoup quitte la sécurité de leur emploi pensant être submergé de rendez-vous en un claquement de doigts. Or, comme toute activité, il y a un travail de fond à instaurer pour bénéficier d’une clientèle et la fidéliser.
N’en déplaise à certains, c’est un véritable métier qui je dois bien l’avouer est certainement le plus épuisant que j’ai pu exercer. C’est pourquoi je recommande d’exercer ce métier avec passion en conservant s’il y a une activité parallèle. Il est essentiel aussi de conserver les pieds sur terre et de prendre le temps de vivre uniquement de celle-ci que lorsqu’elle est établie financièrement et non l’inverse. Ce conseil vous évitera bien des déceptions et peut-être un découragement mettant un terme prématuré à l’exercice de cette profession passionnante.
Olivier Bernard : Si les pratiques ésotériques au XIXe siècle semblaient répondre à une qualité de savoirs relativement protégés et dont l’enseignement était dispensé de manière discrète par de « grands initiés ». L’acquisition des savoirs du nouvel ésotérisme du XXIe siècle se fait-il selon d’autres modalités ?
Sophie Vitali : Oui auparavant les arts divinatoires notamment l’astrologie et la numérologie était réservé à des érudits. Quant à la voyance, elle était exercée essentiellement par des femmes du « petit peuple ». Par ailleurs, cette image est toujours ancrée dans l’imaginaire collectif, celle du femme avec un foulard sur la tête tapie dans la pénombre installée à un guéridon.
Un cliché qui je dois bien l’avouer m’irrite… En effet, il m’est fréquemment arrivé au début de ma carrière que l’on me demande si j’avais un vrai métier à côté. Ma réponse négative les laissait perplexes et parfois même avec un regard dénigrant sur mon activité. Je me souviens d’une personne qui m’a répliqué que cela était impossible ! Elle ajouta d’un air hautain que si je le souhaitai, je pourrais aller faire des ménages pour gagner ma vie correctement !
Il y aussi un autre cliché qui associe la pratique des arts divinatoires aux « ignorants » ou bien aux « illettrés ». Pour beaucoup, faire de la médiumnité une profession n’est pas un choix, mais une solution pour ceux qui sont « incapables » d’évoluer dans cette société. Pour d’autres, cette profession a une consonance d’abus de confiance et de malhonnêteté. C’est aussi l’un des sujets que j’aborde dans mon livre : la médiumnité libérée.
Pour répondre à ta question sur de nouveaux moyens d’acquisitions des savoirs faire, il existe aujourd’hui avec l’arrivée du numérique différents moyens d’accroître ses connaissances. Ateliers, formations en ligne, émissions et articles sont accessibles facilement depuis un ordinateur ou un smartphone.
Olivier Bernard : Montrer l’absent est le privilège des arts visuels comme la peinture, la sculpture, la photographie, le cinéma et le théâtre. Le rapport au réel demeure le même dans ces arts ; toute personne ou objet représenté n’existe plus comme tel dans la vie. Une distance temporelle sépare le portrait et le modèle, mais nous n’avions jamais envisagé, en tout cas avant Edison, de montrer l’absent par le son.
C’est une autre pratique médiumnique que tu connais, la TCI ou le contact défunt.
Vas-tu en parler dans ton livre : La médiumnité libérée à paraître ?
Sophie Vitali : Oui, il était inconcevable dans un livre parlant de médiumnité de ne pas aborder ce sujet. Tout au long de l’ouvrage, j’ai posé des questions à mes guides sur différents sujets par l’intermédiaire d’une médium de mon équipe. Non pas pour prouver qu’il y a une vie après la mort, car le lecteur en ait déjà convaincu. Son intérêt pour les sujets traités dans ce livre le prouve. Je souhaitai uniquement apporter un maximum d’informations complémentaires. C’est pour cela que j’ai fait appel à un autre médium afin de ne pas être influencé par ma propre réflexion lors de ces écritures.
Ainsi, les messages de mes guides comportent des réponses sur les liens karmiques, les contrats d’âme, la mission de vie, la vie après la mort, l’incarnation. Bien que l’histoire de fond soit mon autobiographie, les messages s’appliquent à toutes situations, épreuves et à l’existence de chacun.
Olivier Bernard : La médiumnité demande toujours pour s’exercer la mise en place d’un dispositif co-construit par les différents acteurs, médium et consultants, permettant la production d’un paysage surnaturel. Décris-nous comment se passe « ce dispositif » avec tes consultants ?
Sophie Vitali : Ta question me fait sourire, car pour ma part, il n’y a pas de mise en scène ni de costume de scène. Je souhaite un échange avec le consultant franc, honnête et humain, et ce, sans artifices. Une nouvelle fois, les clichés doivent être balayés pour laisser la place à une médiumnité et à une pratique libre.
Il y a 3 ans environ, une photo de moi tenant un tambour chamanique en conférence a circulé sur le web. Certains commentaires : laissez-moi rire, elle n’a rien d’une chamane ! On dirait Barbie ou bien, c’est un défilé de mode ? ont fusé ! Ma jupe noire, ma chemise en soie rouge et mes cheveux coiffés méritaient ils de tels propos ? Pour mes détracteurs, une vraie chamane doit elle être affublée d’un pantalon en toile ? D’une chemise arrivant quasiment aux genoux et de cheveux en bataille parsemés de plumes ?
Comme tu as pu le constater, le choix du titre de mon livre n’est pas anodin et il aurait pu s’intituler : sortez des clichés et vivez votre médiumnité avec la liberté qui vous convient. En effet, serais-je plus crédible si je partageais sur les réseaux sociaux des citations prises au hasard pour démontrer à quel point je mérite mon « titre » ? Serai-je une véritable spirituelle si j’étais végane et que je répétai inlassablement : gratitude à la vie ! Non, car selon moi, la vie est parsemée d’épreuves que nous devons surmonter.
Olivier Bernard : Il y a un aspect que je veux absolument aborder tant, il va passionner, voire concerner certains lecteurs, c’est celui du scepticisme, des contradicteurs, des cartésiens absolus.
Cela ne signifie aucunement que je ne donne pas le droit de contredire un préjugé théorique, aussi puissant, soit-il. Au contraire, il est intéressant d’ouvrir cette porte, car ainsi, qu’on ne puisse pas (par exemple) dépasser la vitesse de la lumière avec un vaisseau supraluminique. Celui-là même qui fait aujourd’hui l’objet d’un consensus, basé sur une théorie universellement acceptée ou presque (la théorie einsteinienne de la relativité restreinte). Pour autant, cela n’est pas un fait démontré non plus, mais une simple prédiction théorique.
Si l’on rentre dans ce jeu un peu pervers du doute, toutes les hypothèses deviennent aussi justifiées que justifiables les unes que les autres. Il n’y aura pas véritablement de gagnant, mais bien des perdants. Il s’agit de ceux qui recherchent une spiritualité autre que celle d’une religion ou ayant une vision cartésienne tellement terre-à-terre qu’elle s’étouffe elle-même.
Sophie Vitali : Je répondrai que je respecte les croyances de chacun et que je ne cherche nullement à imposer mes croyances. Cependant, depuis la nuit des temps, des phénomènes inexplicables ont lieu que ce soit dans des lieux (hantises) ou bien avec des prédictions qui se sont révélées justes. Je comprends le scepticisme des personnes concernant les arts divinatoires. En effet, il est largement renforcé par des escrocs et des mages qui n’ont de magiques que leur lien PayPal et leur poudre de Perlimpinpin.
C’est un sujet que nous avons abordé maintes fois tous les deux lors d’émissions ou d’articles notamment Voyance et charlatanisme. Je l’aborde aussi dans mon ouvrage : La médiumnité libérée avec mes guides, car il est le point noir de tout médium honnête qui se respecte ! J’aimerais aussi faire passer ce message aux détracteurs qui ont pour habitude de nous insulter sur les réseaux sociaux.
Votre intolérance et votre haine contre les médiums devraient plutôt être utilisées de façon positive pour éradiquer la maltraitance ou la famine par exemple. En effet, quel intérêt avez-vous à nous menacer de mort ou bien à nous traiter, je cite de « saloperies », de « tarés » ou bien de suppôts de Satan ? N’avez-vous pas de préoccupations plus importantes ? Que diriez-vous que nous fassions de même en vous jugeant sur votre profession ? Après tout, les plombiers, les banquiers et les garagistes n’ont-ils pas malgré eux la une réputation d’escrocs ? Cela s’appelle l’amalgame et il est néfaste pour toute profession ou appartenance…
Ce livre est très important pour moi, car il relate des événements de ma vie personnelle que je n’ai jamais partagés avec qui que ce soit. Mon histoire a été parsemée d’épreuves difficiles : violence, deuil, secrets de famille, meurtre et maladies mêlés à de l’incompréhension. J’ai appris de ces épreuves par mon expansion de conscience et l’écriture de cet ouvrage.
On dit souvent que l’écriture est un exutoire et il est vrai que je détiens depuis son achèvement de nombreuses réponses à mes questions. C’est donc en paix que j’ai terminé son écriture. Le livre : la médiumnité libérée convient à toute personne en expansion de conscience, car il est aussi un guide qui au fil des chapitres vous aide à comprendre :
- Le sens et le but des épreuves,
- À identifier les liens karmiques et les contrats d’âme
- À développer vos capacités médiumniques
- À accepter vos capacités extra-sensorielles et à être en phase avec elles
- À vous débarrasser des entraves et des pensées négatives pour évoluer spirituellement
- À vivre votre médiumnité librement en sortant des clichés.
S.V : À cette question, je parlerai en tout premier lieu de ma déception qui serait que le lecteur pense que ce livre a pour but de rechercher de la compassion. Or, dès l’introduction, je fais référence à cette notion erronée, car son unique but est d’éclairer le lecteur en apportant une réflexion sur ses propres épreuves.
Évidemment, mon propre parcours de vie sert d’histoire de fond, mais elle n’est pas la plus importante. Seuls les messages obtenus de mes guides le sont, car je ne suis qu’une personne parmi tant d’autres. Je remercie profondément mes guides : Franck, Rolande, Charles et Raffaela car leurs messages sont porteurs d’espoirs pour nous tous.
Je ne peux connaître de véritables déceptions, car l’échange autour de cet ouvrage a été exceptionnel. Ainsi, des professionnels et amis ont accepté mon invitation à apporter un éclairage sur certains sujets. Notamment, Vannina Schirinsky sur le sujet des EMI (expérience de mort imminente), Linda Severdija, Marcellu, Yannis, Bassoan, Kathy, Colette ou bien toi Olivier sur la résonnance magnétique. Je vous en remercie pour cela ! Je n’oublie pas de mentionner Jean-Didier qui est l’auteur de la préface. Il m’a également fortement conseillé et encouragé tout au long de cette écriture.
Ma plus grande joie par rapport à ce livre serait de dépoussiérer un sujet abordé de nombreuses fois en éradiquant des croyances archaïques. D’aider d’autres médiums à prendre confiance en eux, et ce, afin de leur permettre de développer leur plein potentiel. J’ajouterai que si mon histoire est en mesure de leur apporter de la lumière et de les aider à changer leur regard sur leur propre passé, ma mission est réussie !
Bravo pour votre ouvrage ! Je suis médium et me retrouve dans votre cheminement. Vous êtes franche et osé dire ce que nous pensons tous bas. Encore bravo !